Après Strasbourg
"On s’était dit que seule la victoire comptait ce soir. On voulait prendre cette équipe de Strasbourg à bras-le-corps mais il s’est avéré qu’en face, il y avait une formation qui jouait sa survie et qui nous a posé des problèmes. On a su faire le dos rond à certains moments, comme souvent à domicile, puis on a la réussite qui nous fuit à l’extérieur. Je pense que Strasbourg a pris un coup derrière la tête après le premier but et on a pu enfoncer le clou juste avant la mi-temps. Le coach nous a dit ensuite que le troisième but ferait la différence. A 2-1, tout pouvait être relancé, on était revenu de 2-0 à 2-2 à Marseille. On n’a rien lâché pour le goal-average, on a sauvé des ballons sur la ligne. C’est la preuve que ce groupe, malgré toutes les absences, a encore grandi. Aujourd’hui, je suis fier d’appartenir à cette équipe."
Furlan (coach RCS) dans France Football:
"Ce soir, alors que c'était une de nos dernières chances, nous offrons deux des trois buts à notre adversaire sur des erreurs individuelles et nous loupons encore trop d'occasions. Je n'ai pas fait les comptes mais tant que mathématiquement le maintien est jouable, un entraîneur n'a pas le droit de ne pas y croire."