Abdes dans le RL
Ouaddou dans L'Equipe:
«Si Valenciennes avait décidé de ne pas me laisser partir, je serais resté. Sans tirer la gueule et en faisant mon métier consciencieusement. J'ai du respect pour le club et ses supporters. Il y a des joueurs qui vont au clash et qui refusent de s'entraîner. Je n'aurais jamais agi ainsi.»
«Nancy est un club que l'on respecte et qui a une bonne image. Il s'est structuré depuis mon départ et il entend encore progresser. L'objectif est de terminer dans les dix premiers et aussi de bien figurer en Coupe de l'UEFA. Pour moi, cette compétition est importante»
Ouaddou dans le Républicain Lorrain du jour:
« Gamin, je faisais des tournois interquartiers et ils ( deux instituteurs de l'École La Fontaine, à Jarville) ont insisté pour convaincre mon père de me prendre une licence. Mes parents voulaient que je me concentre sur mes études. Pour eux, le foot n'était pas un métier. »
« Je m'étais attaché (à VA). Mais quand Nancy m'a rappelé, j'ai dit qu'il fallait que je rentre à la maison. C'était une petite métaphore pour souligner ma relation forte avec l'ASNL. »
« Le Maroc fait partie de moi. Mes parents y sont nés. Je suis arrivé à deux, trois ans en France mais ces deux cultures sont une richesse. Je connais plus le Moyen Âge, l'époque féodale et la Révolution que l'histoire du Maroc mais j'aime me replonger dans mes racines. »